Un membre du personnel temporaire se rend compte qu’il n’est pas fait pour l’enseignement : s’il quitte l’enseignement, garde-t-il le droit à ses allocations de chômage ? S’il y a rupture de contrat par « consentement mutuel », il risque quand même une sanction de l’ONEm (de 4 à 26 semaines). Il peut toujours aller au CPAS, en attendant bien sûr, pour demander le revenu d’intégration en attendant le chômage.
Attention ! Tous les cas de rupture par « consentement mutuel » ne donnent pas lieu à des sanctions : en effet, quand le membre du personnel quitte un emploi pour en retrouver aussitôt un autre où il a plus d’heures ou bien qui donne lieu à une rémunération plus importante, il ne devrait pas y avoir de sanction. Dans la question ci-dessus, on évoque le membre du personnel qui quitte l’enseignement. Nuançons.